Les musiciens les plus destroy

barbapopo · Fantomaths Inscrit le: 10 Aoû 2007 Messages: 5528

Sinon, dans le genre bien con, on peut trouver le chanteur de Boys Hit Car, qui a réalisé le plus haut stage-diving du monde : c'est visionnable ici et, personnellement, ça me fout la sueur à chaque fois.

A noter que "68 foot" (sic), c'est environ 20 m, c'est-à-dire entre 4 et 5 étages...

TheDecline01

Mais ... putain, c'est qui ce taré ????
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Bonjour, je m'appelle dick et j'en ai vraiment une petite.

Christophe1974

Y-a-t-il eu des morts?

Pietro

Yeah! Ca c'est rock n' roll!
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UNCHAINED - Infernal Death Machine (le clip !)
UNCHAINED - No Scapegoat to Blame

Boutique UNCHAINED: http://unchainedmetal.bigcartel.com/

SCORNFORGER - Thrash Till You Puke!!!
DIVIDEAD (mon ancien groupe) - Sweet revenge (live)

anoraknophobic · Clakmonfricomaniac Inscrit le: 10 Aoû 2007 Messages: 3038

Quelle saleté de hippie, il a dû abuser de la fumette ! lol

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Chroniques du Léviathan : blog comics, mangas, jeux vidéo

Fishbowlman

Y'en a une bien destroy qui m'a toujours fait marrer, j'ai du déjà la sortir d'ailleurs.

Black Sabbath et Motörhead en concert en plein air à Dublin, 1983. L'anecdote est relaté par Ian Gillan. Après le concert, il écoute une discussion de Motörhead en backstage.

Brian Robertson : "Hé, nous n'avons jamais joué notre nouveau single."
Lemmy : "Je l'ai joué pendant le second morceau"
Philthy : "Je l'ai joué pendant le 5ème".

TheDecline01

Ah ah ah, pas mal du tout !
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Bonjour, je m'appelle dick et j'en ai vraiment une petite.

Fishbowlman

D'autres anecdotes traduites, du site de Ian Gillan :

Winston Churchill a décrit la Grande-Bretagne et les États-Unis comme deux grandes nations divisées par une langue commune.

Il y a un chanteur de Liverpool qui chantait 'Nine Stone Cowboy' ( N.d.t. - ceci veut dire "cowboy de 180 livres" et aussi "cowboy drogué neuf fois") avec assurance pendant beaucoup d'années.

Il y a un chanteur dans Deep Purple qui disait tout le temps "Would you like a fag ?" ( N.d.t. - ceci veut dire "veux-tu une clope ?" et aussi "veux-tu un homosexuel ?") aux techniciens de scène américains, jusqu'à ce qu'on lui explique.

© Ian Gillan 1997

Je jouais au billard dans un bistrot et un gars est venu me voir et m'a dit "Es-tu Ian Gillan ?"
"Ouais, c'est moi", j'ai répondu, en essayant de me concentrer sur mon coup.
"Non" a-t-il dit et est allé rejoindre ses copains.
Ceci a beaucoup amusé mes amis. Quelques instants plus tard, il est revenu.
"Es-tu vraiment Ian Gillan ?"

En essayant d'ignorer les premiers sentiments de doute, j'ai répliqué poliment par l'affirmative, mais il ne voulait pas me croire et s'est retiré en secouant la tête. Quelques instants plus tard, il était de retour et comme il allait ouvrir la bouche pour parler, je lui ai dit, très doucement, "vas te faire foutre". "Wow," a-t-il chuchoté, finalement content, "tu es vraiment Ian Gillan".

© Ian Gillan 1996

Sandra parlait à une amie pendant une fête chez Ian Paice ; la musique était très forte. Un tout petit membre de l'équipe de tournée était en train d'expliquer à un collègue comment il trouvait Sandra alléchante et ce qu'il aimerait lui faire. La musique s'est arrêtée soudainement, en même temps qu'il hurlait dans l'oreille de son ami "Mec, j'aimerais vraiment la baiser!".....

Sandra s'est retournée avec un air impérieux - elle mesure pas loin de deux mètres - son regard a fait le tour de la pièce à sa hauteur puis s'est baissé vers le spécimen tremblant ; il y a eu un silence puis elle a dit...
'Stuart, j'ai tout entendu ! Si jamais tu le fais - et que je m'en rends compte - tu vas être dans la m**de.'

© Ian Gillan 2004

et la plus débile :

En faisant mon rapport téléphonique quotidien pendant une tournée australienne, je faisais des remarques sur la qualité supérieure des bars d'effeuilleuses en ces lieux. C'est devenu une routine - après les spectacles à Perth, Adelaide, Melbourne, Sydney, Brisbane et aussi en d'autres villes ça et là - d'aller voir «le ballet» comme nous en faisions l'euphémisme.
Merveilleuse Australie - et le Canada aussi - qui ont gardé une perspective terre-à-terre dans ce monde de snobinards.
De toutes façons, le but de cette histoire n'est pas de porter le «ballet» aux nues mais de répéter un bout d'une conversation privée entre moi et la jolie Madame B.

Sans intolérance du tout, elle m'a fait savoir qu'elle pensait que mes visites, qui étaient devenues une habitude, pourraient être interprétées comme le début d'une obsession.
Pour la rassurer, je lui ai expliqué que c'était seulement parce que je suis en train de perdre la vue - je porte des lunettes de lecture - que je profitais de chaque occasion de voir des beaux derrières avant de devenir aveugle.

© Ian Gillan 2006

Fracture · Inscrit le: 02 Oct 2007 Messages: 97

Il y a cet épisode lors de l'enregistrement de The Who Sell out en 67, à propos de l'enregistrement de Rael. Je ne sais pas trop si c'est une légende ou si c'est réellement arrivé (ce qui est tout à fait possible connaissant les gusses). C'est en tout cas relaté dans le livret du remaster de 1995 du CD.

Kooper: "We recorded most of the song in one day and then adjourned for a noon start the next day. We left rather hurriedly because we were fried from working so intensely...evidently the multitrack tape of 'Rael' was left on the counter unboxed. The cleaning woman came in and threw it in the trash but didn't empty it, so it lay there with soda and cigarette ash all over it. When (engineer) Chris Huston came in next morning...he was horrified. The first 15 seconds of the track had been compromised and would have to be done again. He was the one who was gonna have to tell Townshend. I wanted to see this encounter. So Pete comes boppin' in about 12:15 and Chris takes him in a corner and is talking very hushed to him. All this is audible are Chris' last words, "Pete, I'm sorry but sometimes these things happen..." Townshend is pacing back and forth inside the control room, when all of a sudden he picks up the engineers' chair and throws it through the control room glass partition, damage of roughly $12,000. Then he turned to Chris and said, "Don't worry Chris...sometimes these things just happen."
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Grosse poutre

Ulysse Angus

L'ingénieur du son Chris Huston, qui était présent durant toutes les séances (contrairement à Kooper), a dit que toute cette histoire était fausse, et que l'ensemble de la salle de contrôle ne valait même pas 12000$. Voici la source: http://www.thewho.net/linernotes/WhoSellOut.htm.

Par contre les Who ont fait bien d'autres excès... Je me rappelle d'une soirée au Madison Square Garden en 1974, où Townshend a cassé trois Gibson Les Paul et Keith Moon une quatrième.
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Because no battle is ever won, he said. They are not even fought. The field only reveals to man his own folly and despair, and victory is an illusion of philosophers and fools.

Fracture · Inscrit le: 02 Oct 2007 Messages: 97

Oui, c'est pour cela que je me pose la question... mais il est aussi bien seul à dire cela Houston!

Il y a aussi l'époside des explosifs dans la batterie de Keith Moon (c'est visible, mais en version pétards soft, dans leur concert au Monterey Festival)
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Grosse poutre