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barbapopo Fantomaths
Inscrit le: 10 Aoû 2007 Messages: 5528
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Posté le: Mer 12 Fév 2014 15:24 Sujet du message: |
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Oui, pareil.
J'ai déjà expliqué mille fois que mes albums préférés sont en général des albums que je n'ai pas du tout aimés à la première écoute, ou qui m'ont laissé très tiède.
On fonctionne tous différemment ; mais si j'avais dû attendre qu'une première écoute mette "tous mes sens en alerte", je serais passé à côté des meilleurs groupes de ma vie.
Et mes goûts n'auraient jamais évolué.
Idem pour les lectures.
C'est le côté "il y a tant de groupes à écouter" qui me dépasse un peu, personnellement. |
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merci foule fête Sex, Drugs & Cyril Rool
Inscrit le: 19 Juil 2012 Messages: 3165 Localisation: Colères banlieue sud
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Posté le: Mer 12 Fév 2014 17:19 Sujet du message: |
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Qu'est-ce qui te "dépasse" là-dedans, en fait ?
Effectivement on procède tous différemment, d'où ma sidération envers "votre" méthode diamétralement opposé à la mienne. Perso, j'essaie de ne me fermer à rien - même si c'est très théorique - et donc je me dis juste qu'il y a des milliers et des milliers de disques/groupes/artistes à côté desquels je passe alors que s'y trouve peut-être (sans doute !) une palanquée d'overquiphes. Alors c'est sûrement prétentieux mais je pense me connaître suffisamment pour savoir qu'un truc ne me plaira jamais, même s'il ne faut jamais dire jamais. Et passer à autre chose. Vite. _________________ "[...]- le rythme véritable ne vient jamais de la répétition qui pourtant le prépare, mais du surgissement de l'étrange, d'un plan oblique à l'attention [...]" Alain Damasio - La Horde du Contrevent |
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Fly Geisharlebois
Inscrit le: 10 Aoû 2007 Messages: 7067 Localisation: Montréal
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Posté le: Mer 12 Fév 2014 17:27 Sujet du message: |
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Au risque de me répéter : hop et hop. Juste histoire de mettre les choses en perspective. _________________ Il n'est point de réel voyage dont la destination ultime ne soit le point de départ.
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barbapopo Fantomaths
Inscrit le: 10 Aoû 2007 Messages: 5528
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Posté le: Mer 12 Fév 2014 18:20 Sujet du message: |
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Ce qui me dépasse, c'est le côté "la vie est courte, dépêchons-nous" de ce genre de phrases. Et son revers un peu clientéliste, un peu zappeur. Un peu "Neeeext !"
Quand je lis des trucs sur "les milliers et les milliers de trucs qui existent à côté" (pas seulement sous ta plume, hein), j'ai le sentiment d'une espèce de course, d'une urgence que je peux certes comprendre... mais que j'ai un peu envie de remettre en question, également.
Parce que quoi : vous êtes pressés ? Vous avez du lait sur le feu ??
C'est comme si, après des années de pinards débouchés religieusement chaque semaine, l'Internet et le monde contemporain nous avaient ouvert une cave avec des milliards de bouteilles, et qu'il fallait absolument se magner le cul d'en goûter le plus possible, sinon... sinon quoi, au fait ?
On ne les goûtera jamais toutes, quoi qu'il arrive.
Alors, autant prendre le temps comme avant, autant les respirer, les faire tourner un peu en bouche. Au moins un peu. (Puis les recracher si c'est vraiment trop dégueu.)
Je trouverais un peu dangereux, pour moi, d'attendre la bouteille qui réponde exactement à mes goûts, aussi formés soient-ils.
Car pour presque tous les groupes que j'ai aimés, cet amour a été un apprentissage. Ca a été aussi à moi, de faire un pas vers la musique. Et ce pas-là, la déformation que cet effort a fait subir à mes goûts d'avant, a toujours été beaucoup plus gratifiant que de recevoir une rondelle calibrée "100 % barbapopo".
Après quand on n'aime pas, on n'aime pas. Et il y a bien sûr des choses que, moi aussi, je doute de pouvoir aimer un jour - et ce, dès la première écoute.
Mais je ne sais pas : on dit souvent que les premières découvertes ont été les plus fortes, les plus magiques. Et quand je lis toutes les histoires de type : "Comment j'en suis venu à telle ou telle musique", c'est rare d'y trouver une adhésion immédiate et complète.
Au contraire : ça a souvent été un effort, un travail, une domestication, autour de quelques pointes de kiff isolées (tel solo qui nous faisait tripper ; tel mec qui nous fascinait, même si la musique autour ne nous disait trop rien ; tel morceau au milieu d'un album qu'on n'aimait pas particulièrement).
Moi, même si je pense avoir des goûts assez """pointus""", j'essaye de me servir de cette expérience, non pas pour benner les albums le plus vite possible - mais au contraire : pour repérer des "points d'accroche", des îles de kiff éventuel, dans des albums qui ne m'inspirent rien à priori (style : le dernier Warpaint).
L'autre seul bonus qui m'apporte l'expérience, je crois, c'est cette espèce d'"humilité" vis-à-vis de ce que j'écoute : j'ai retourné ma veste tellement souvent, j'ai tellement kiffé sur des musiques que je pointais auparavant du doigt en ricanant (dernier exemple en date : Green Day), que je me dis toujours : "Si la première écoute n'est pas absolument rédhibitoire, redonne plusieurs fois sa chance à un album. Comme pour Queen. Comme pour Tool. Comme pour Faith No More."
En fait, pour moi, le secret, c'est que dans cette cave immense, il n'y a que des piquettes.
Que des piquettes a priori.
Ce n'est pas en creusant le plus vite possible que je découvrirai les meilleurs crus : c'est en laissant le temps à ces piquettes de mûrir un minimum (et de modifier un peu mon palais par la même occasion). |
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Sly
Inscrit le: 18 Avr 2012 Messages: 611
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Posté le: Mer 12 Fév 2014 18:30 Sujet du message: |
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On aura beau dire, mais niveau métaphore, popo c'est quand même pas Joe l'clodo.
(À part ça, je suis entièrement d'accord avec toi. Comme souvent.) _________________ Don't cry— With my toes on the edge it's such a lovely view...
Inside— I never loved anything until I loved you
Confide— I'm over the edge, what can I do? |
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barbapopo Fantomaths
Inscrit le: 10 Aoû 2007 Messages: 5528
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Posté le: Mer 12 Fév 2014 18:43 Sujet du message: |
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Merci ! |
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Fly Geisharlebois
Inscrit le: 10 Aoû 2007 Messages: 7067 Localisation: Montréal
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Posté le: Mer 12 Fév 2014 18:49 Sujet du message: |
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C'est con, j'aime pas le vin. _________________ Il n'est point de réel voyage dont la destination ultime ne soit le point de départ.
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barbapopo Fantomaths
Inscrit le: 10 Aoû 2007 Messages: 5528
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Posté le: Mer 12 Fév 2014 20:36 Sujet du message: |
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T'es plutôt sake, hein ? |
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dupinguez Chevalier de Saint-Maslow
Inscrit le: 18 Aoû 2007 Messages: 11449 Localisation: Grenoble
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Fly Geisharlebois
Inscrit le: 10 Aoû 2007 Messages: 7067 Localisation: Montréal
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Posté le: Jeu 13 Fév 2014 16:03 Sujet du message: |
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C'est une discussion qui revient souvent, en plus voir ici et là _________________ Il n'est point de réel voyage dont la destination ultime ne soit le point de départ.
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dupinguez Chevalier de Saint-Maslow
Inscrit le: 18 Aoû 2007 Messages: 11449 Localisation: Grenoble
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Fly Geisharlebois
Inscrit le: 10 Aoû 2007 Messages: 7067 Localisation: Montréal
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Posté le: Mer 19 Fév 2014 22:26 Sujet du message: |
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Enfin, le nouveau clip de Kyary : http://www.youtube.com/watch?v=nwWm3om-gSw
avec en prime la face B : Slow Mo _________________ Il n'est point de réel voyage dont la destination ultime ne soit le point de départ.
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merci foule fête Sex, Drugs & Cyril Rool
Inscrit le: 19 Juil 2012 Messages: 3165 Localisation: Colères banlieue sud
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Posté le: Jeu 20 Fév 2014 0:17 Sujet du message: |
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barbapopo a écrit: |
En fait, pour moi, le secret, c'est que dans cette cave immense, il n'y a que des piquettes.
Que des piquettes a priori.
Ce n'est pas en creusant le plus vite possible que je découvrirai les meilleurs crus : c'est en laissant le temps à ces piquettes de mûrir un minimum (et de modifier un peu mon palais par la même occasion). |
Je n'avais pas vu ton post avant ce soir, donc désolé pour la réponse à contretemps mais tout de même, je voulais rebondir sur un ou deux trucs.
J'avoue et reconnais sans honte le côté un peu "boulimique" de mes écoutes après des années laborieuses juste pour avoir accès à la came, deals douteux à la clé (S1pho, si tu me lis...). Toi qui dois être à peu près aussi vieux que moi, tu as connu ça. Tout à portée de main après des années de frustration, forcément, moi je fonce dans la schnouffe et m'en enfile plein les narines. Au final, je fais presque le même constat que toi : beaucoup de matos frelaté, peu de purs délires - selon mes critères, bien sûr.
Sauf que - et c'est là que nos avis divergent - je ne vais pas m'attarder sur des machins douteux qui ne me disent rien mais vais plutôt tenter de suite ma chance avec ce nouvel arrivage dont certains dealers bien connus dans le quartier n'arrêtent pas de vanter la qualité. Et si celle-ci n'est évidemment pas garantie par la quantité, la diversification des choix permet d'augmenter la chance du trip astral tant espéré.
En fait, tout cela remonte à l'enfance, docteur, à l'époque où j'avais si peu d'albums à me mettre dans les esgourdes que je les faisais tourner inlassablement, même les plus nases. Et j'ai pu me rendre compte à cette époque de vaches maigres (pleure, Cosette) que contrairement à ce que tu affirmes, les piquettes ne se transforment jamais en grands millésimes : essaie un peu de boire un Beaujolais nouveau plusieurs années après sa mise en bouteille...
Donc, pour le meilleur et pour le pire, je persévère dans l'élimination éclairée, dans les domaines qui me sont familiers, tout du moins. Car quand je découvre un nouveau territoire - comme les rythmes mandingues il y a quelques années - je prends mon temps et mon coupe-coupe, procède aux premiers repérages, dresse une carte approximative, tente d'ouvrir un maximum de chakras et c'est parti pour une exploration que je souhaite la moins chargée d'a priori possible, même s'il n'est pas facile de se débarrasser de ses préférences. Et ne m'arrête pas aux inévitables perplexités initiales. Un jour, ou peut-être une nuit, je ne désespère d'ailleurs pas d'aimer une oeuvre de jazz - mais pas ce soir, j'écoute Hail Spirit Noir. _________________ "[...]- le rythme véritable ne vient jamais de la répétition qui pourtant le prépare, mais du surgissement de l'étrange, d'un plan oblique à l'attention [...]" Alain Damasio - La Horde du Contrevent |
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Jamestown
Inscrit le: 04 Fév 2013 Messages: 191
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Posté le: Jeu 20 Fév 2014 0:37 Sujet du message: |
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Je trouve le morceau un peu en dessous de d'habitude, mais le refrain est quand même une bien belle saloperie qui te rentre direct dans la tête. |
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Fly Geisharlebois
Inscrit le: 10 Aoû 2007 Messages: 7067 Localisation: Montréal
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Posté le: Jeu 20 Fév 2014 1:35 Sujet du message: |
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Perso je suis encore une fois passé de "bof" à "putain mais sors de mon crâne bordel". Certes les arrangements sont plus en retrait que d'habitude, mais la chanson touche directement au coeur (et encore plus avec le clip). D'ailleurs je me demande ce que ça annonce pour la suite. Et puis "Slow Mo" est un sacré morceau aussi, qui tranche avec ce que l'on est habitués d'entendre de Kyary. _________________ Il n'est point de réel voyage dont la destination ultime ne soit le point de départ.
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Cedric Dave Mitaine
Inscrit le: 27 Oct 2010 Messages: 5504
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Posté le: Jeu 20 Fév 2014 8:29 Sujet du message: |
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barbapopo a écrit: |
Ce qui me dépasse, c'est le côté "la vie est courte, dépêchons-nous" de ce genre de phrases. Et son revers un peu clientéliste, un peu zappeur. Un peu "Neeeext !"
Quand je lis des trucs sur "les milliers et les milliers de trucs qui existent à côté" (pas seulement sous ta plume, hein), j'ai le sentiment d'une espèce de course, d'une urgence que je peux certes comprendre... mais que j'ai un peu envie de remettre en question, également.
Parce que quoi : vous êtes pressés ? Vous avez du lait sur le feu ??
C'est comme si, après des années de pinards débouchés religieusement chaque semaine, l'Internet et le monde contemporain nous avaient ouvert une cave avec des milliards de bouteilles, et qu'il fallait absolument se magner le cul d'en goûter le plus possible, sinon... sinon quoi, au fait ?
On ne les goûtera jamais toutes, quoi qu'il arrive.
Alors, autant prendre le temps comme avant, autant les respirer, les faire tourner un peu en bouche. Au moins un peu. (Puis les recracher si c'est vraiment trop dégueu.)
Je trouverais un peu dangereux, pour moi, d'attendre la bouteille qui réponde exactement à mes goûts, aussi formés soient-ils.
Car pour presque tous les groupes que j'ai aimés, cet amour a été un apprentissage. Ca a été aussi à moi, de faire un pas vers la musique. Et ce pas-là, la déformation que cet effort a fait subir à mes goûts d'avant, a toujours été beaucoup plus gratifiant que de recevoir une rondelle calibrée "100 % barbapopo".
Après quand on n'aime pas, on n'aime pas. Et il y a bien sûr des choses que, moi aussi, je doute de pouvoir aimer un jour - et ce, dès la première écoute.
Mais je ne sais pas : on dit souvent que les premières découvertes ont été les plus fortes, les plus magiques. Et quand je lis toutes les histoires de type : "Comment j'en suis venu à telle ou telle musique", c'est rare d'y trouver une adhésion immédiate et complète.
Au contraire : ça a souvent été un effort, un travail, une domestication, autour de quelques pointes de kiff isolées (tel solo qui nous faisait tripper ; tel mec qui nous fascinait, même si la musique autour ne nous disait trop rien ; tel morceau au milieu d'un album qu'on n'aimait pas particulièrement).
Moi, même si je pense avoir des goûts assez """pointus""", j'essaye de me servir de cette expérience, non pas pour benner les albums le plus vite possible - mais au contraire : pour repérer des "points d'accroche", des îles de kiff éventuel, dans des albums qui ne m'inspirent rien à priori (style : le dernier Warpaint).
L'autre seul bonus qui m'apporte l'expérience, je crois, c'est cette espèce d'"humilité" vis-à-vis de ce que j'écoute : j'ai retourné ma veste tellement souvent, j'ai tellement kiffé sur des musiques que je pointais auparavant du doigt en ricanant (dernier exemple en date : Green Day), que je me dis toujours : "Si la première écoute n'est pas absolument rédhibitoire, redonne plusieurs fois sa chance à un album. Comme pour Queen. Comme pour Tool. Comme pour Faith No More."
En fait, pour moi, le secret, c'est que dans cette cave immense, il n'y a que des piquettes.
Que des piquettes a priori.
Ce n'est pas en creusant le plus vite possible que je découvrirai les meilleurs crus : c'est en laissant le temps à ces piquettes de mûrir un minimum (et de modifier un peu mon palais par la même occasion). |
Alors là, pas mieux
C'est zezactement comment que c'est que j'vois les choses.
Popo a ce truc qui me rassure des fois. Sauf les clignements de l'avat', mais ça on en a déjà parlé. |
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painlesslady Pintless Poupoune of Steele
Inscrit le: 12 Aoû 2007 Messages: 3506 Localisation: Rockin' in The Free world
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Posté le: Jeu 20 Fév 2014 10:50 Sujet du message: |
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C'est marrant, je me retrouve un peu dans ce que vous dites tous les deux MFF et Popo.
Au début j'avais tendance à être comme MFF, me précipiter frénétiquement et passer d'un album à l'autre, après des années à creuser en solo et à l'aveugle dans la grande cave du métal, au fil du hasard, des chroniques de Hard Rock Magazine et quelques K7 répiquées plusieurs fois qu'on pouvait m'échanger. Forcément, une fois câblée à internet grâce à feu Napster et Kazaa, c'était la caverne d'Ali Baba et je suis partie dans tous les sens.
Puis après s'être goinfré, on a un peu une indigestion et on devient plus raisonnable.
L'expérience m'a montré qu'en effet, je marche souvent au coup de coeur mais qu'il faut aussi laisser sa chance à certains disques sous peine de passer à côté.
NOLA de Down est le meilleur exemple.
Grande fan de Pantera depuis l'année de sa découverte en 1994, j'ai acheté NOLA de Down à a sa sortie. Et l'ai détesté tout de suite. J'avais beau l'écouter, je ne comprenais pas les critiques élogieuses sur cette musique que je trouvais monolithique et dont je n'entendais pas une note du prétendu groove sudiste que tout le monde décrivait. Il aura fallu attendre 10 ans que je m'y remette et que le coup de cœur survienne de manière inattendue.
J'ai bien failli passer à côté d'un grand cru. |
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S1phonique Chauve No Mercy
Inscrit le: 08 Mar 2013 Messages: 5535 Localisation: pas très loin du Stade de France.
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Posté le: Jeu 20 Fév 2014 10:54 Sujet du message: |
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avec vos raisonnements Popo et painy on écoute tous Lana Del Ray dans 10ans _________________ Swing it, shake it, move it, make it ;Who do you think you are?
Trust it, use it, prove it, groove it ;Show, how good you are ! |
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painlesslady Pintless Poupoune of Steele
Inscrit le: 12 Aoû 2007 Messages: 3506 Localisation: Rockin' in The Free world
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Posté le: Jeu 20 Fév 2014 11:05 Sujet du message: |
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Ha ha S1pho !
Attention, ça ne veut pas dire du tout que tout se vaut. Juste de savoir insister un peu avant de classer un truc dans la colonne "beurk".
Personnellement, avant de conclure que non vraiment lcertains trucs de metal prog ce n'est pas pour moi, j'ai tenté plusieurs fois. Si des gens avec qui je partage des goûts similaires sur ce forum encensent Dream Theater ou autres, j'essaie de comprendre. Mais quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.
Par contre, le fait de tenter sans a priori m'a permis de bonnes découvertes (Porcupine Tree, Fates Warning, The Dear Hunter...) |
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S1phonique Chauve No Mercy
Inscrit le: 08 Mar 2013 Messages: 5535 Localisation: pas très loin du Stade de France.
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Posté le: Jeu 20 Fév 2014 11:28 Sujet du message: |
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tu n'aimes pas Lama Belle Raie! ! ?
on peut considérer que l'oreille ça se travaille aussi avec le temps.
Des exemples que vous citez ci dessus sont des musiques accessibles après certaines étapes du monde Rock. il ne me viendrait pas à l'esprit de faire écouter du Cannibal ou Suffocation à un mec qui commence à aimer le metal en général.
il ne faut pas s'étonner qu'un noob voulant découvrir le Noir commence par Darkthrone, dégueule en disant que c'est naze puis y revienne quelques années après avoir acheté toute la disco de Dimmu , Cradle of Filth et autres Anorexia Nervosa pour les chauvins.
Par exemple il m'a fallu des années et des années d'écoute de mauvais thrash pour apprécier Britney Spears à sa juste valeur _________________ Swing it, shake it, move it, make it ;Who do you think you are?
Trust it, use it, prove it, groove it ;Show, how good you are ! |
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